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Le camp de réfugiés syriens de Marj El Khohk dans le sud du Liban
Le camp informel de réfugiés de Marj El Khohk dans la vallée de Khiam au sud du Liban abrite environ 500 familles Syriennes qui y vivent dans des situations plus que précaires. Pour la plupart agriculteurs, ils viennent le plus souvent d'Alep et de sa région. Si, lors de leur arrivée, les trois quarts des réfugiés ont été comptabilisés par le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), depuis 1 an, ils ne sont plus enregistrés. AMEL, une ONG Libanaise, leur apporte une aide humanitaire, via sa clinique mobile qui effectue une centaine de consultations par semaine. La plupart des maladies sont respiratoires et dues aux très mauvaises conditions de vie des réfugiés.
Le camp de réfugiés syriens de Marj El Khohk dans le sud du Liban
Le camp informel de réfugiés de Marj El Khohk dans la vallée de Khiam au sud du Liban abrite environ 500 familles Syriennes qui y vivent dans des situations plus que précaires. Pour la plupart agriculteurs, ils viennent le plus souvent d'Alep et de sa région. Si, lors de leur arrivée, les trois quarts des réfugiés ont été comptabilisés par le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), depuis 1 an, ils ne sont plus enregistrés. AMEL, une ONG Libanaise, leur apporte une aide humanitaire, via sa clinique mobile qui effectue une centaine de consultations par semaine. La plupart des maladies sont respiratoires et dues aux très mauvaises conditions de vie des réfugiés.